- Déterminer comment on peut joindre quelquun (par téléphone fixe/mobile, par IM, etc...), c'est l'objectif de Tello, expliqué dans ce post de Andy Abramson.
- Vodaphone est l'opérateur mobile n° 1, mais ne s'est pas encore adapté à la convergence fixe-mobile en restant focalisé sur le marché mobile uniquement. Etre toujours plus gros est-il dans ce cas une bonne stratégie ?
mardi, janvier 31, 2006
lundi, janvier 30, 2006
- Orange a mis sur table une somme astronomique, à la hauteur des espérances que fondent les opérateurs mobiles sur la TV sur mobile. Il faut dire que lorsque l'on voit combien les jeunes (et moins jeunes) sont accro avec leur mobile...
dimanche, janvier 29, 2006
samedi, janvier 28, 2006
mercredi, janvier 25, 2006
- Un mécanisme universel d'étiquetage de n'importe quoi : s'identifier soi-même, plus une date et un nom pour l'objet. Et c'est tout !
- Je me pose des questions sur l'usage de del.icio.us. Et si j'utilisais plutôt furl dans certains cas ? Furl.net permet de stocker des pages Web sur un espace privé, alors que del.icio.us ne fait que de stocker des URL, qui pointent vers des pages susceptibles de disparaître.
mardi, janvier 24, 2006
Structure DVD -2-
En dépit du nombre et de la variété des lecteurs DVD, les DVD possèdent en effet une structure interne extraordinairement complexe. C’est à se demander comment des lecteurs de DVD à 50 euros sont capables de lire les centaines de millions de DVD produits chaque année par des studios utilisant des chaînes de production indépendantes ( ?).
D’un point de vue utilisateur, un DVD se compose de titres, eux-mêmes divisés en chapitres, mais la réalité est beaucoup plus complexe, comme décrit dans le DVD unofficial guide. Car pour simplifier le tout, le standard DVD-Vidéo n’est apparemment pas public.
L’unité de base d’un DVD est une séquence (“cell”). Une séquence est associée à un unique flux vidéo, à 8 flux audio au plus et 32 flux de sous-titres au plus. Une séquence est identifiée de façon unique par son emplacement physique sur le disque, un identificateur de séquence (« cell id ») et un numéro d’objet vidéo (« vob id »). Suite à une commande, le lecteur de DVD peut démarrer la lecture au début de toute séquence et à la fin de la lecture, de façon optionnelle, une commande de séquence permet de dire au lecteur de DVD ce qu’il doit faire : par exemple de répéter la séquence ou au contraire de sauter les séquences suivantes.
Un programme est une suite ordonnée de références à des séquences (une suite de pointeurs vers les séquences). Il est important de comprendre que deux programmes distincts peuvent donc faire référence à la même séquence. Souvent un programme ne fait référence qu’à une seule séquence.
Une chaîne (PGC) est un ensemble de 0 à 255 programmes, un titre comprenant de 0 à 999 chaînes. La chaîne est l’élément fondamental de la structure du DVD. Elle inclut des pré-commandes, des commandes à exécuter pour chaque séquence lue, des post-commandes, et référence la chaîne suivante, la chaîne précédente, la chaîne mère. Eventuellement une chaîne ne fait référence à aucune séquence mais inclut seulement des commandes. Un titre possède une chaîne par défaut (entry-PGC), qui est jouée lorsque le titre est sélectionné par l’utilisateur. Dans la mesure où une chaîne fait référence à une chaîne précédente et à une chaîne suivante, il existe donc des groupes de chaînes. Le concept de chaîne permet également de traiter la notion de menu.
Enfin il existe une notion de chapitre, (PTT ou Part of Title), chaque chapitre faisant référence à un (habituellement) ou plusieurs programmes consécutifs dans une chaîne. En revanche deux chapitres distincts dans un même titre ne font pas nécessairement référence à des programmes appartenant à la même chaîne. Le chapitre (PTT ou Part Of Title) correspond à l’entité la plus petite accessible directement par l’utilisateur. Ainsi lorsque l’on appuie sur la touche « Suivant » de sa télécommande, on accède au chapitre suivant. Souvent un chapitre correspond à un programme.
Un titre inclut donc finalement un ensemble de chaînes et de chapitres.
Un ensemble de titres vidéo (VTS ou Video Title Set) correspond à un groupe de titres et de menus (language units).
Un DVD peut contenir jusqu’à 99 VTS, chaque VTS pouvant contenir jusqu’à 99 titres. De plus un DVD ne peut contenir que 99 titres en tout.
Passez-moi l'aspirine s'il vous plaît, je vais aller me coucher,
Alexis.
- Nouvelle start-up pour détecter votre présence en ligne. Coopétition avec Skype ou peut-être même Microsoft. L'IM (ou le mobile) est le mode de communication privilégié par les jeunes du millénaire, plus que le mél.
- Un article détaillé sur Tello, une start-up facilitant les communications IM, faisant peut-être le lien entre le mél et l'IM. Avec une forte concurrence de Microsoft (MSN) à la clé.
lundi, janvier 23, 2006
- Convergence entre TV et Internet, Google se positionne...
- Les SMS, une façon de ne pas communiquer, et d'éviter une relation aussi intime que celle portée par la voix. Ou de hiérarchiser ses modes de communication ?
- La disparité des acteurs et l'importance du symbolique (l'ancien et le nouveau) rappelle un peu la fusion AOL / Time Warner. Mais dans le cas de Pixar-Disney, il s'agit cette fois de deux sociétés proches, deux studios. Et Jobs en futur boss...
- Le partage de la valeur ajoutée n'est pas équitable entre les opérateurs télécom et les Google, Yahoo... Les nouveaux réseaux optiques pourraient abandonner la "neutralité réseau" afin de taxer les clients de iTunes.
- Et encore un article sur : opérateur télécom ou audiovisuel ? Pas de différence...
- Une leçon instructive de finances délivrée par Light Reading. Je me souviens de leurs articles cinglants sur Corvis...
- Le monde des blogs est ouvert. Comment tel ou tel sujet devient-t-il prééminent ? Quelles sont les catégories de bloggers ? Peut-on seulement classer les bloggers ?
- La mort annoncée du Web 2.0 pour cause de complexité ? En tout cas, il va falloir certainement simplifier pour devenir grand public.
jeudi, janvier 19, 2006
La force du nombre
Vu sur une pub : une femme sur cinq trahie par sa serviette chaque mois. Sur un sujet aussi intime, il est probable que des statistiques n'ont pas beaucoup de sens. Comment garantir la fiabilité d'une telle enquête, quelle part de subjectivité dans la réponse ? En revanche, le nombre dispose d'une force symbolique, qui va évoquer une image au-delà de son sens immédiat. Je m'explique.
Pour des générations d'écoliers, le chiffre 3 est en relation avec les parties d'une dissertation, avec l'ordonnancement d'une explication. Lorsque je présente un sujet, j'essaye d'avoir 3 parties lorsque le sujet est particulièrement flou, afin de lui donner davantage de corps, de lui greffer un squelette. Le chiffre 3 est structurant. Peut-être avons-nous retenu dans notre mental collectif que c'est le chiffre du Dieu chrétien : 3 comme la Trinité ? Si nous annoncons qu'un tiers des femmes est trahie par sa serviette chaque mois, la question des deux tiers restants est immédiatement posée : quelles sont leurs conditions de confort ? Y-a-t-il une échelle, une graduation ? Le chiffre 3 possède une charge symbolique trop forte pour laisser passer le message publicitaire sans le polluer.
Le chiffre 4 est pour moi définitivement associé à la cuisine (un quart de litre, un quatre quart), à la mesure des quantités, à la division de deux parts en deux. Nous ne sommes plus dans la structuration du discours, mais dans l'énumération des quantités. A mon sens, le chiffre 4 possède lui aussi une charge symbolique trop forte pour laisser passer le message publicitaire. Si nous annoncons qu'un quart des femmes est trahie par sa serviette chaque mois, l'image projetée est brouillée.
Le chiffre 5 est de mon point de vue le premier chiffre neutre, un chiffre qui n'appelle rien de particulier à l'esprit. Un cinquième correspond cependant à une minorité significative, inquiétante peut-être. Voilà pourquoi indépendamment de l'intérêt ou de la véracité d'une telle statistique, je trouve que le choix de ce chiffre est bon pour laisser passer le message publicitaire.
Allez, je vais aller casser la croûte de ce pas.
Alexis.
- Cela date un peu (éventuellement), fleure bon la fin des années 90 : la liberté des réseaux. A revisiter peut-être.
- Toujours dans l'esprit d'un Internet qui s'ausculte lui-même, à travers ses utilisateurs, pour mieux sentir où va porter la vague ?
- Une conférence sur l'IP TV, une nouvelle source de revenus pour les opérateurs télécoms.
mercredi, janvier 18, 2006
DVD structure
D’un point de vue utilisateur, un DVD se compose de titres, eux-mêmes divisés en chapitres, mais la réalité est beaucoup plus complexe, comme décrit dans le DVD unofficial guide. Et pour simplifier le tout, le standard DVD-Vidéo n’est apparemment pas public.
Comme une pupée russe, les structures se contiennent les unes les autres mais s'enchevêtrent également. A la base la cellule, unité élémentaire du point de vue du lecteur. Référençant une (habituellement) ou plusieurs cellules, un programme. Chaînant un ensemble de programmes, une chaîne de programmes ou PGC. Un titre est finalement composé d'un ensemble de PGC, chaque PGC pouvant être associé à un mode de lecture particulier, par exemple le choix de la langue, le type d'actions utilisateurs permis, par exemple pouvoir modifier les sous-titrages ou non. Afin de rendre la notion de PGC transparente à l'utilisateur au sein d'un même titre, le chapitre référence des programmes choisis dans les PGC. Un PGC peut d'ailleurs ne contenir aucun flux audio/vidéo.
Mais ce n'est pas tout car il faudrait également expliquer comment les menus et la navigation dans ces menus est gérée, par le biais d'un mini-langage de commandes, associé à une dizaine de variables globales et une dizaine de variables système. En effet un PGC peut inclure des commandes de type Link ou Jump utilisées par exemple avec des tests de valeur de variables globales que d'autres PGC ont préalablement modifiées suite à des actions utilisateur de sélection de tel ou tel menu.
Mais où est donc mon Aspégic ?
Alexis.
mardi, janvier 17, 2006
Quels moyens pour le Home Media Center ?
- La Freebox sait recevoir des flux audio/vidéo MPEG2-TS sur udp://212.27.38.253:1234 (adresse IP de la Freebox vu du réseau local domestique) et les réémettre vers la TV par un cordon Péritel, les flux audio pouvant être transmis ou non vers l’ampli Home cinéma par un câble optique S/PDIF.
- La solution VideoLAN et en particulier le logiciel GPL VLC permet d’une part de recevoir, décoder et afficher des flux MPEG sous Windows XP (entre autres systèmes d’exploitation, cela fonctionne aussi avec Linux et MacOS X) et d’autre part de diffuser sur un réseau local des fichiers MPEG1/2/4, des DVD (et également des flux vidéo réseau en unicast/multicast). VLC est un logiciel d’une grande souplesse et intégrant de nombreuses options. VLC sait en particulier démultiplexer des flux reçus (audio, vidéo, sous-titres), transcoder si nécessaire les différents flux, et les multiplexer à nouveau dans un format de transport adéquat au mode de diffusion, en l’occurrence MPEG2-TS pour les flux UDP. VLC intègre enfin un mini-serveur HTTP (qui écoute sur le port 8080) et peut donc être piloté à distance en utilisant un client HTTP.
- Free distribue une version paramétrée de VLC, Freeplayer, de façon à pouvoir recevoir des flux MPEG2-TS sur la Freebox à partir du poste informatiqu où est installé Freeplayer. La Freebox embarque un client HTTP basique. En utilisant la télécommande Freebox comme outil de saisie, on peut donc naviguer sur son poste informatique par l’intermédiaire de Freeplayer, puis sélectionner le fichier à lire par VLC. Le serveur HTTP de VLC peut également intégrer des modules qui permettent de mieux utiliser les fonctionnalités de VLC à partir du navigateur de la Freebox. Un mod très pratique est le Freebrowser qui propose la lecture de tous fichiers lisibles par VLC et même la lecture de DVD.
- Flou juridique sur Internet : quand est-ce que l'on est un cybercommerçant, astreint à l'impôt sur les sociétés, ou un simple particulier vendant un objet de façon occasionnelle ? Où est la limite ?
dimanche, janvier 15, 2006
Objectifs du Home Media Center
Une fois le PC allumé, pouvoir tout piloter à partir de la TV, à savoir la sélection du film ou du morceau de musique, sa lecture, et enfin éteindre le PC.
La sélection du film ou morceau de musique doit être simple (clic sur un unique élément, qui soit significatif, idéalement une image). Idem pour les photos. Il faut disposer d’un système de menus ou encore mieux, de mots-clés associés à chaque objet.
Le pilotage TV inclut les fonctions de base du DVD/CD : jouer / pause / stop, piste suivante / précédente, avancée /recul rapide.
L’écoute du morceau de musique doit restituer les qualités sonores initiales (.wav, .mp3 éventuellement) et basculer sur son numérique 5.1 lorsque possible.
Le stockage des films doit être optimisé sur le disque dur : les sous-titrages doivent être supprimés ainsi que les flux audio hors français. Idem pour les bonus. Les bonus pourront toujours faire l’objet d’une consultation spécifique sur le DVD d’origine au cas improbable où je souhaiterais les regarder.
Voilà, voilà... mes lentilles sifflent dans la cocotte !
Alexis.
- Suite un mémo "'interne" de R. Ozzie largement divulgué, Microsoft parie sur les technologies liées à la pub en ligne qui ont fait le bonheur de Google. Article également intéressant en ce qu'il démontre que Microsoft tente de s'émanciper du PC. E
- De l'importance de la compatibilité des terminaux pour le développement de la voix sur IP. A mettre en perspective avec le maquis tarifaire dont les abonnés de Free font depuis peu les frais (non-gratuité des appels à destination des opérateurs alte
- Skype utilise les ressources CPU des PC des utilisateurs finaux. Cela est bien connu (principe du peer-to-peer), mais qu'en adviendra-t-il lorsque les terminaux seront des téléphones Skype ?
- Est-ce qu'un service équivalent existe en France ? Ce serait bien commode.
- Comme le site à un million de dolars, l'idée qui marche une fois seulement ?
- Avec le développement de contenus multimédias sur le Web, un service d'indexage de ces contenus devient une nécessité pour pouvoir les trouver facilement. Rappelle l'initiative de Chirac sur quaero. Flickr.
- Skype ne coûte rien et permet l'audioconférence. C'est vrai que c'est génial. A comparer avec l'article de Om Malik sur le même sujet. Les telcos n'aiment pas beaucoup skype...
- Baisse des investissements sur la 3G ? Concurrence acharnée aux US entre opérateurs ? Les courants porteurs Web 2.0 font oublier les difficultés continues des telcos, lles déboires de France Telecom ou DT sur le marché voix et leurs espoirs sur les f
samedi, janvier 14, 2006
- Dans dix ans, Internet ferait tellement partie de nos vies qu'il disparaîtrait, seule resterait la question de l'usage. En revanche la question énergétique sera de nouveau au premier plan.
- Pour tout comprendre sur la structure d'un DVD. Plutôt technique et assez long. Pressés s'abstenir.
jeudi, janvier 12, 2006
Media Center
Et tout d’abord, quelques digressions préliminaires sur le contexte.
La convergence numérique s’exprime à la maison dans le rapprochement des environnements informatiques, matériels et logiciels, avec les appareils d’électronique grand public. Cette convergence n’est pas uniquement conceptuelle : non seulement le monde de l’électronique grand public et de l’informatique utilisent de plus en plus de standards communs (dont le meilleur exemple est à mon goût le MP3 et le grand succès actuel des iPOD), mais il est à présent possible de connecter les 2 mondes afin de multiplier les services.
La convergence n’est cependant pas achevée dans les architectures proposées par les constructeurs informatiques et électroniques : pratiquement le raccordement des équipements audio et vidéo avec les PC et leurs périphériques s’effectue au travers d’un équipement intermédiaire. Cet équipement, que l’on appelle parfois le Media Center, pourrait être vendu comme tel, mais sa commercialisation de façon isolée reste confidentielle. Il faut souligner la technicité d’un outil qui ne délivre pas de fonction immédiatement perceptible par l’utilisateur final et surtout le flou de son périmètre fonctionnel : quelles fonctions localiser dans cet équipement ?
Les opérateurs télécoms en recherche de nouveaux marchés grand public prennent appui sur la fourniture obligée d’un modem ADSL pour transformer un équipement disgracieux et sans grand intérêt en un Media Center domestique. C’est l’emblématique Freebox (nommée ainsi en référence implicite à la Xbox de Microsoft ?), et ses équivalents chez France Telecom, 9 Telecom, et autres.
Ma Freebox distribue ainsi les flux audio/vidéo dans la maison : Recevoir ou émettre des flux audio/vidéo transportés sur IP et les réémettre vers des équipements de type TV, ampli Home Cinéma. Les flux reçus peuvent également provenir d’un serveur Web (Web TV, Web Radio) et c’est ainsi que je peux indifféremment regarder France 2 sur mon PC ou ma TV, enregistrer une émission de télévision (en numérique de bout en bout) sur disque dur, et réciproquement afficher sur ma TV des fichier média stockés sur mon PC.
- Vouz avez rêvé de tout connaître sur les interfaces de disque dur : ATA, IDE, Ultra ATA... et S/ATA. Ce site est fait pour vous !
mardi, janvier 10, 2006
dimanche, janvier 08, 2006
- UNe FAQ détaillée sur bittorrent. Comment cela fonctionne : une idée toute simple sur la distribution des flux. Mais l'implémentation est probablement plus compliquée...
samedi, janvier 07, 2006
- Un nouveau marché de sécurité sur l'instant messaging, marché pas encore reconnu par les entreprises. L'usage de l'IM est le fait de services financiers pour qui l'e-mail n'est pas assez interactif.
- Suite au dernier Consumer Electronics Show de Las Vegas, Internet s'étend à présent sur les télés et les mobiles. Pour mieux se développer, GYM proposent d'utiliser leurs portails, outils de recherche ou autre à partir d'un poste TV ou d'un mobile.
- De l'affectif des VC. Personne n'aime dire non, surtout pas les VC. Mais encore moins oui.
- Plus de précisions sur la future offre Go de Yahoo!
- J'en avais beaucoup entendu parler, mais voilà une explication assez claire sur la façon de l'utiliser.
vendredi, janvier 06, 2006
- Et encore un site listant des applications de Freeplayer. Comme quoi VLC, distribué sous GPL, a fait des émules. Qui a dit que la licence GPL freinait les ardeurs créatrices ? Même si l'on peut utiliser Creative Commons si l'on souhaite une alternativ
- Le Wifi est finalement bien sensible. Un réseau sans-fil domestique ne paraît pas envisageable lorsque l'on émet des flux vidéo.
- Finalement les virus viennent avec la complexité des applications déployées. Lorsqu'un téléphone ne fait que téléphoner, il n'y a pas de virus. Mais les virus apparaissent avec la complexité. Intéressant de voir cette convergence entre l'informat
- La balkanisation de la VoIP est-elle un risque réel, comme dénoncé par Om Malik ? Ou peut-elle être transparente à l'utilisateur comme l'expriment certains commentaires à ce post ? C'est évidemment un point important pour le développement de la Vo
- Comme quoi un plugin ne se limite pas à un navigateur donné. La modularité s'exerce dans toutes les dimensions : OS, mais aussi navigateur.
- Trouvé grâce à Techcrunch un VPN établi à la volée entre des hôtes sur Internet, en s'authentifiant auprès d'un serveur tiers de confiance. Paraît intéressant, reste à imaginer les applications pratiques en dehors des aspects de coût (c'est gr
- Une idée simple mais astucieuse. Vendre de l'espace sur le Web à 1$ le pixel. Il fallait y penser !
- La gestion des tags n'a pas de solution satisfaisante, comme le constate Jon Udell.
jeudi, janvier 05, 2006
- Une synthèse sur des pistes d'évolution pour les SI des entreprises.
- Le maquis de la tarification téléphonique en France. Ou lorsque les appels illimités n'en sont plus ou en sont peut-être. Et compte-tenu de la portabilité du numéro, allez savoir si vous allez payer plein pot ou non...
- Opacité de Blogger (réécriture de la feuille de style CSS à chaque nouvelle fonction), mais flexibilité également vis à vis des user scripts (même pour un débutant, il est facile de rajouter des scripts dans le template, ce qui n'est apparemment
- Le succès d'un opérateur global est conditionné par l'expérience utilisateur. Faire construire des terminaux par des partenaires représente en tout cas la partie la plus visible des efforts de Skype pour se positionner comme un opérateur de services
- Il y a tant et tant de formats de fichiers. Dont certains se recoupent. Ce site répertorie une liste impressionnante de types de fichiers avec les applications associées. Indispensable.
mardi, janvier 03, 2006
- VoIP: Google poursuivi pour violation de brevet - Actualités - ZDNet.fr
D'une gestion de son portefeuille de brevets... à l'américaine. Rappelle également le procès entre une veuve et RIM au sujet de brevets sur le Blackberry. Aux US, on respecte le droit du petit ce qui est bien en un sens, mais semble parfois absurde.
- IP Multimedia Subsystem - Wikipedia, the free encyclopedia
Un point de départ pour comprendre l'IMS : clé de la convergence entre réseaux IP fixes et les réseaux mobiles.
- Dans un style journalistique, un premier aperçu sur l'IMS.
- Format OPML : partagez vos sources d’informations! » Archive du blog » blogs.ZDNet.frPartager ses titres d'articles avec les autres selon un format très simple : OPML
lundi, janvier 02, 2006
- Ma Freebox peut faire office de Media Player. Donc à quoi bon acheter l'équivalent chez Pinnacle ? D'autant plus que des softs circulent ajoutant des fonctionnalités. Pour le prix, je ferai mieux de refaire câbler ma maison.
- Finalement la grande application pour la communication instantanée est de pouvoir être connecté sur une même application en même temps. C'est également l'avis de Techcrunch. A quand cette appli de comm sur Skype ?
- Simple, mais génial. Bravo Free !
- Et encore un site relatif à Free que je ne connaissais pas - décidément... !
- Un site extraordinaire qui tente l'impossible : archiver le Web pour les générations futures... Notamment des films libres de droit (feature films). En utilisant Creative Commons (ou un autre droit de copie), on peut y stocker ses fichiers audio (pour l
- Stats sur les pays les mieux équipés en large bande. Surprise, la Chine est numéro 2.
- C'est bien, mais on ne peut uploader des fichiers MP3. Donc pas très intéressant si on n'utilise pas l'enregistreur d'Odeo. Par ailleurs quelles sont les limites du service ? Flickr limite à 20 Mb / mois.
- Cette fois, on a droit à un an gratuit et 100 Mb de stockage (avec des pubs éventuellement) pour un service en alpha-test. A voir... à comparer avec flickr.
- Esthétique soignée pour ce nouveau moteur de recherche.
- Blog sur les télécoms, version voip.
- Ma TV transformée en centre média et accédant aux fichiers audio/image/vidéo stockés sur le disque dur de mon PC ? Intéressant, et encore plus si je peux accéder à des fichier stockés en ligne. Et plus encore s'il s'agit de streams audio (radios
- Beaucoup de fonctions semblent disponibles, mais sera-t-il possible de raccorder directement la Freebox et ses chaînes TV avec le showcenter 200G ?
- Finalement ma Freebox peut faire office de Media Player. Donc à quoi bon acheter l'équivalent chez Pinnacle ? Pour le prix, je ferai mieux de refaire câbler ma maison.
- Finalement la grande application pour la communication instantanée est de pouvoir être connecté sur une même application en même temps. C'est également l'avis de Techcrunch. A quand cette appli de comm sur Skype ?
- Simple, mais génial. Bravo Free !
- Et encore un site relatif à Free que je ne connaissais pas - décidément... !
dimanche, janvier 01, 2006
Blogger ou ... ?
Par ailleurs si la publication d'un post s'avère aisée, la mise à jour d'un post est une tâche autrement plus ardue. Or la mise à jour d'un post est fréquente, pour toutes sortes de raisons : mise en page, relecture, tags,... Pourtant cette opération est souvent refusée par Blogger sans explication apparente, pour être finalement acceptée sans davantage de raisons quelques minutes plus tard. Peut-être s'agit-il d'une question de charge de la plate-forme ?
Plus généralement l'interface de Blogger est elle-même assez obscure. Il semble que Blogger comprenne à la fois les API Atom, les API Metaweblog et les API Blogger, voir cet article sur les API vers les serveurs de blogs. La plate-forme elle-même n'est pas décrite à ma connaissance dans quelque document que ce soit. Il n'existe pas d'interlocuteur clairement désigné en dehors de la petite équipe qui maintient la plate-forme et qui ne peut s'interfacer avec les 20 millions et plus d'utilisateurs de la plate-forme.
Impossible d'obtenir des engagements de qualité de service (vis à vis de la disponibilité du service). Pas de réversibilité non plus du service : impossible de récupérer mes posts, impossible de transférer le look and feel de ce blog sans un coûteux reverse engineering. Le contenu des posts m'appartient peut-être, mais cette propriété est virtuelle car je ne peux faire transférer mon blog vers une autre plate-forme. Blogger est totalement propriétaire, et dans le service Blogger, je ne peux distinguer la partie hébergement de la partie serveur de blog. Pour toutes ces raisons il me semble que Blogger n'est en mesure d'offrir que des blogs expérimentaux, pour débutants. Au delà, il faut pouvoir contrôler sa plate-forme de serveur de blog et faire héberger son blog chez un fournisseur de son choix. Dans cette optique, Wordpress me semble une bonne option. Free me propose d'activer le module PHP Wordpress afin de disposer d'un blog dans ses pages perso. Si je souhaite changer d'hébergeur, je pourrais toujours récupérer mon blog (au titre de mes pages personnelles), en notant les versions nécessaires de PHP et de Wordpress.
Et si je changeais d'hôtel pour voir si la couche est meilleure ? Allez, je vais remettre un bûche dans la cheminée, car il fait décidément froid. Bises glacées,
Alexis.
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