Accro Web

mardi, janvier 31, 2006

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lundi, janvier 30, 2006

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dimanche, janvier 29, 2006

samedi, janvier 28, 2006

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mercredi, janvier 25, 2006

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  • Un mécanisme universel d'étiquetage de n'importe quoi : s'identifier soi-même, plus une date et un nom pour l'objet. Et c'est tout !

  • Je me pose des questions sur l'usage de del.icio.us. Et si j'utilisais plutôt furl dans certains cas ? Furl.net permet de stocker des pages Web sur un espace privé, alors que del.icio.us ne fait que de stocker des URL, qui pointent vers des pages susceptibles de disparaître.

mardi, janvier 24, 2006

Structure DVD -2-

Devant les nombreuses réclamations vis à vis de mon dernier article sur la structure d'un DVD, je me résoud à vous confier quelques explications supplémentaires. Que ces renseignements très confidentiels restent évidemment entre nous, ils ne sont disponibles qu'à ceux qui savent utiliser un navigateur Internet.

En dépit du nombre et de la variété des lecteurs DVD, les DVD possèdent en effet une structure interne extraordinairement complexe. C’est à se demander comment des lecteurs de DVD à 50 euros sont capables de lire les centaines de millions de DVD produits chaque année par des studios utilisant des chaînes de production indépendantes ( ?).

D’un point de vue utilisateur, un DVD se compose de titres, eux-mêmes divisés en chapitres, mais la réalité est beaucoup plus complexe, comme décrit dans le DVD unofficial guide. Car pour simplifier le tout, le standard DVD-Vidéo n’est apparemment pas public.

L’unité de base d’un DVD est une séquence (“cell”). Une séquence est associée à un unique flux vidéo, à 8 flux audio au plus et 32 flux de sous-titres au plus. Une séquence est identifiée de façon unique par son emplacement physique sur le disque, un identificateur de séquence (« cell id ») et un numéro d’objet vidéo (« vob id »). Suite à une commande, le lecteur de DVD peut démarrer la lecture au début de toute séquence et à la fin de la lecture, de façon optionnelle, une commande de séquence permet de dire au lecteur de DVD ce qu’il doit faire : par exemple de répéter la séquence ou au contraire de sauter les séquences suivantes.

Un programme est une suite ordonnée de références à des séquences (une suite de pointeurs vers les séquences). Il est important de comprendre que deux programmes distincts peuvent donc faire référence à la même séquence. Souvent un programme ne fait référence qu’à une seule séquence.

Une chaîne (PGC) est un ensemble de 0 à 255 programmes, un titre comprenant de 0 à 999 chaînes. La chaîne est l’élément fondamental de la structure du DVD. Elle inclut des pré-commandes, des commandes à exécuter pour chaque séquence lue, des post-commandes, et référence la chaîne suivante, la chaîne précédente, la chaîne mère. Eventuellement une chaîne ne fait référence à aucune séquence mais inclut seulement des commandes. Un titre possède une chaîne par défaut (entry-PGC), qui est jouée lorsque le titre est sélectionné par l’utilisateur. Dans la mesure où une chaîne fait référence à une chaîne précédente et à une chaîne suivante, il existe donc des groupes de chaînes. Le concept de chaîne permet également de traiter la notion de menu.

Enfin il existe une notion de chapitre, (PTT ou Part of Title), chaque chapitre faisant référence à un (habituellement) ou plusieurs programmes consécutifs dans une chaîne. En revanche deux chapitres distincts dans un même titre ne font pas nécessairement référence à des programmes appartenant à la même chaîne. Le chapitre (PTT ou Part Of Title) correspond à l’entité la plus petite accessible directement par l’utilisateur. Ainsi lorsque l’on appuie sur la touche « Suivant » de sa télécommande, on accède au chapitre suivant. Souvent un chapitre correspond à un programme.

Un titre inclut donc finalement un ensemble de chaînes et de chapitres.
Un ensemble de titres vidéo (VTS ou Video Title Set) correspond à un groupe de titres et de menus (language units).
Un DVD peut contenir jusqu’à 99 VTS, chaque VTS pouvant contenir jusqu’à 99 titres. De plus un DVD ne peut contenir que 99 titres en tout.

Passez-moi l'aspirine s'il vous plaît, je vais aller me coucher,

Alexis.


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lundi, janvier 23, 2006

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jeudi, janvier 19, 2006

La force du nombre

Vu sur une pub : une femme sur cinq trahie par sa serviette chaque mois. Sur un sujet aussi intime, il est probable que des statistiques n'ont pas beaucoup de sens. Comment garantir la fiabilité d'une telle enquête, quelle part de subjectivité dans la réponse ? En revanche, le nombre dispose d'une force symbolique, qui va évoquer une image au-delà de son sens immédiat. Je m'explique.

Pour des générations d'écoliers, le chiffre 3 est en relation avec les parties d'une dissertation, avec l'ordonnancement d'une explication. Lorsque je présente un sujet, j'essaye d'avoir 3 parties lorsque le sujet est particulièrement flou, afin de lui donner davantage de corps, de lui greffer un squelette. Le chiffre 3 est structurant. Peut-être avons-nous retenu dans notre mental collectif que c'est le chiffre du Dieu chrétien : 3 comme la Trinité ? Si nous annoncons qu'un tiers des femmes est trahie par sa serviette chaque mois, la question des deux tiers restants est immédiatement posée : quelles sont leurs conditions de confort ? Y-a-t-il une échelle, une graduation ? Le chiffre 3 possède une charge symbolique trop forte pour laisser passer le message publicitaire sans le polluer.

Le chiffre 4 est pour moi définitivement associé à la cuisine (un quart de litre, un quatre quart), à la mesure des quantités, à la division de deux parts en deux. Nous ne sommes plus dans la structuration du discours, mais dans l'énumération des quantités. A mon sens, le chiffre 4 possède lui aussi une charge symbolique trop forte pour laisser passer le message publicitaire. Si nous annoncons qu'un quart des femmes est trahie par sa serviette chaque mois, l'image projetée est brouillée.

Le chiffre 5 est de mon point de vue le premier chiffre neutre, un chiffre qui n'appelle rien de particulier à l'esprit. Un cinquième correspond cependant à une minorité significative, inquiétante peut-être. Voilà pourquoi indépendamment de l'intérêt ou de la véracité d'une telle statistique, je trouve que le choix de ce chiffre est bon pour laisser passer le message publicitaire.


Allez, je vais aller casser la croûte de ce pas.

Alexis.


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mercredi, janvier 18, 2006

DVD structure

En dépit du nombre et de la variété des lecteurs DVD, les DVD possèdent une structure interne extraordinairement complexe. C’est à se demander comment des lecteurs de DVD à 50 euros sont capables de lire les centaines de millions de DVD produits chaque année par des studios utilisant des chaînes de production indépendantes (?).
D’un point de vue utilisateur, un DVD se compose de titres, eux-mêmes divisés en chapitres, mais la réalité est beaucoup plus complexe, comme décrit dans le DVD unofficial guide. Et pour simplifier le tout, le standard DVD-Vidéo n’est apparemment pas public.

Comme une pupée russe, les structures se contiennent les unes les autres mais s'enchevêtrent également. A la base la cellule, unité élémentaire du point de vue du lecteur. Référençant une (habituellement) ou plusieurs cellules, un programme. Chaînant un ensemble de programmes, une chaîne de programmes ou PGC. Un titre est finalement composé d'un ensemble de PGC, chaque PGC pouvant être associé à un mode de lecture particulier, par exemple le choix de la langue, le type d'actions utilisateurs permis, par exemple pouvoir modifier les sous-titrages ou non. Afin de rendre la notion de PGC transparente à l'utilisateur au sein d'un même titre, le chapitre référence des programmes choisis dans les PGC. Un PGC peut d'ailleurs ne contenir aucun flux audio/vidéo.


Mais ce n'est pas tout car il faudrait également expliquer comment les menus et la navigation dans ces menus est gérée, par le biais d'un mini-langage de commandes, associé à une dizaine de variables globales et une dizaine de variables système. En effet un PGC peut inclure des commandes de type Link ou Jump utilisées par exemple avec des tests de valeur de variables globales que d'autres PGC ont préalablement modifiées suite à des actions utilisateur de sélection de tel ou tel menu.

Mais où est donc mon Aspégic ?
Alexis.

mardi, janvier 17, 2006

Quels moyens pour le Home Media Center ?

Les composants techniques dont je dispose pour répondre sont les suivants :

  • La Freebox sait recevoir des flux audio/vidéo MPEG2-TS sur udp://212.27.38.253:1234 (adresse IP de la Freebox vu du réseau local domestique) et les réémettre vers la TV par un cordon Péritel, les flux audio pouvant être transmis ou non vers l’ampli Home cinéma par un câble optique S/PDIF.

  • La solution VideoLAN et en particulier le logiciel GPL VLC permet d’une part de recevoir, décoder et afficher des flux MPEG sous Windows XP (entre autres systèmes d’exploitation, cela fonctionne aussi avec Linux et MacOS X) et d’autre part de diffuser sur un réseau local des fichiers MPEG1/2/4, des DVD (et également des flux vidéo réseau en unicast/multicast). VLC est un logiciel d’une grande souplesse et intégrant de nombreuses options. VLC sait en particulier démultiplexer des flux reçus (audio, vidéo, sous-titres), transcoder si nécessaire les différents flux, et les multiplexer à nouveau dans un format de transport adéquat au mode de diffusion, en l’occurrence MPEG2-TS pour les flux UDP. VLC intègre enfin un mini-serveur HTTP (qui écoute sur le port 8080) et peut donc être piloté à distance en utilisant un client HTTP.

  • Free distribue une version paramétrée de VLC, Freeplayer, de façon à pouvoir recevoir des flux MPEG2-TS sur la Freebox à partir du poste informatiqu où est installé Freeplayer. La Freebox embarque un client HTTP basique. En utilisant la télécommande Freebox comme outil de saisie, on peut donc naviguer sur son poste informatique par l’intermédiaire de Freeplayer, puis sélectionner le fichier à lire par VLC. Le serveur HTTP de VLC peut également intégrer des modules qui permettent de mieux utiliser les fonctionnalités de VLC à partir du navigateur de la Freebox. Un mod très pratique est le Freebrowser qui propose la lecture de tous fichiers lisibles par VLC et même la lecture de DVD.
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dimanche, janvier 15, 2006

Objectifs du Home Media Center

De façon plus précise, les objectifs que je pose pour mon Home Media Center sont les suivants :

Une fois le PC allumé, pouvoir tout piloter à partir de la TV, à savoir la sélection du film ou du morceau de musique, sa lecture, et enfin éteindre le PC.

La sélection du film ou morceau de musique doit être simple (clic sur un unique élément, qui soit significatif, idéalement une image). Idem pour les photos. Il faut disposer d’un système de menus ou encore mieux, de mots-clés associés à chaque objet.

Le pilotage TV inclut les fonctions de base du DVD/CD : jouer / pause / stop, piste suivante / précédente, avancée /recul rapide.

L’écoute du morceau de musique doit restituer les qualités sonores initiales (.wav, .mp3 éventuellement) et basculer sur son numérique 5.1 lorsque possible.

Le stockage des films doit être optimisé sur le disque dur : les sous-titrages doivent être supprimés ainsi que les flux audio hors français. Idem pour les bonus. Les bonus pourront toujours faire l’objet d’une consultation spécifique sur le DVD d’origine au cas improbable où je souhaiterais les regarder.

Voilà, voilà... mes lentilles sifflent dans la cocotte !

Alexis.

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samedi, janvier 14, 2006

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jeudi, janvier 12, 2006

Media Center

Suite à la mise en place de ce blog, et en attendant de le transférer éventuellement vers mes pages perso Free, mon projet est maintenant le suivant : éradiquer les CD et DVD qui jonchent le sol (grâce à mes chérubins qui ne les rangent jamais) et les stocker sur disque dur afin de les visualiser et écouter à la demande sur la TV et l’ampli Home Cinéma. Et pour la bonne mesure, stocker également les innombrables photos éparpillées dans divers CD.

Et tout d’abord, quelques digressions préliminaires sur le contexte.

La convergence numérique s’exprime à la maison dans le rapprochement des environnements informatiques, matériels et logiciels, avec les appareils d’électronique grand public. Cette convergence n’est pas uniquement conceptuelle : non seulement le monde de l’électronique grand public et de l’informatique utilisent de plus en plus de standards communs (dont le meilleur exemple est à mon goût le MP3 et le grand succès actuel des iPOD), mais il est à présent possible de connecter les 2 mondes afin de multiplier les services.

La convergence n’est cependant pas achevée dans les architectures proposées par les constructeurs informatiques et électroniques : pratiquement le raccordement des équipements audio et vidéo avec les PC et leurs périphériques s’effectue au travers d’un équipement intermédiaire. Cet équipement, que l’on appelle parfois le Media Center, pourrait être vendu comme tel, mais sa commercialisation de façon isolée reste confidentielle. Il faut souligner la technicité d’un outil qui ne délivre pas de fonction immédiatement perceptible par l’utilisateur final et surtout le flou de son périmètre fonctionnel : quelles fonctions localiser dans cet équipement ?

Les opérateurs télécoms en recherche de nouveaux marchés grand public prennent appui sur la fourniture obligée d’un modem ADSL pour transformer un équipement disgracieux et sans grand intérêt en un Media Center domestique. C’est l’emblématique Freebox (nommée ainsi en référence implicite à la Xbox de Microsoft ?), et ses équivalents chez France Telecom, 9 Telecom, et autres.

Ma Freebox distribue ainsi les flux audio/vidéo dans la maison : Recevoir ou émettre des flux audio/vidéo transportés sur IP et les réémettre vers des équipements de type TV, ampli Home Cinéma. Les flux reçus peuvent également provenir d’un serveur Web (Web TV, Web Radio) et c’est ainsi que je peux indifféremment regarder France 2 sur mon PC ou ma TV, enregistrer une émission de télévision (en numérique de bout en bout) sur disque dur, et réciproquement afficher sur ma TV des fichier média stockés sur mon PC.
links for 2006-01-11
  • Vouz avez rêvé de tout connaître sur les interfaces de disque dur : ATA, IDE, Ultra ATA... et S/ATA. Ce site est fait pour vous !
    (tags: home hosting)

mardi, janvier 10, 2006

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dimanche, janvier 08, 2006

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  • UNe FAQ détaillée sur bittorrent. Comment cela fonctionne : une idée toute simple sur la distribution des flux. Mais l'implémentation est probablement plus compliquée...
    (tags: bittorent p2p)

samedi, janvier 07, 2006

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vendredi, janvier 06, 2006

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jeudi, janvier 05, 2006

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mardi, janvier 03, 2006

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lundi, janvier 02, 2006

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dimanche, janvier 01, 2006

Blogger ou ... ?

Publier son blog sous Blogger est très simple. Quelques clics, et voilà, le blog est démarré, une mise en page vous est proposée et vous pouvez publier votre premier post. La personnalisation du blog est en revanche une tâche beaucoup plus délicate. En effet si le modèle du blog est disponible en lecture et écriture, le contexte dans lequel il s'insère n'est pas documenté : des variables comme par exemple $BlogItemTitle$ sont incluses dans le modèle sans que l'on connaisse précisément les modalités de création et de mise à jour. Les feuilles de style appliquées semblent éventuellement modifiées à la volée par une feuille de style spécifique Blogger.

Par ailleurs si la publication d'un post s'avère aisée, la mise à jour d'un post est une tâche autrement plus ardue. Or la mise à jour d'un post est fréquente, pour toutes sortes de raisons : mise en page, relecture, tags,... Pourtant cette opération est souvent refusée par Blogger sans explication apparente, pour être finalement acceptée sans davantage de raisons quelques minutes plus tard. Peut-être s'agit-il d'une question de charge de la plate-forme ?
Plus généralement l'interface de Blogger est elle-même assez obscure. Il semble que Blogger comprenne à la fois les API Atom, les API Metaweblog et les API Blogger, voir cet article sur les API vers les serveurs de blogs. La plate-forme elle-même n'est pas décrite à ma connaissance dans quelque document que ce soit. Il n'existe pas d'interlocuteur clairement désigné en dehors de la petite équipe qui maintient la plate-forme et qui ne peut s'interfacer avec les 20 millions et plus d'utilisateurs de la plate-forme.

Impossible d'obtenir des engagements de qualité de service (vis à vis de la disponibilité du service). Pas de réversibilité non plus du service : impossible de récupérer mes posts, impossible de transférer le look and feel de ce blog sans un coûteux reverse engineering. Le contenu des posts m'appartient peut-être, mais cette propriété est virtuelle car je ne peux faire transférer mon blog vers une autre plate-forme. Blogger est totalement propriétaire, et dans le service Blogger, je ne peux distinguer la partie hébergement de la partie serveur de blog. Pour toutes ces raisons il me semble que Blogger n'est en mesure d'offrir que des blogs expérimentaux, pour débutants. Au delà, il faut pouvoir contrôler sa plate-forme de serveur de blog et faire héberger son blog chez un fournisseur de son choix. Dans cette optique, Wordpress me semble une bonne option. Free me propose d'activer le module PHP Wordpress afin de disposer d'un blog dans ses pages perso. Si je souhaite changer d'hébergeur, je pourrais toujours récupérer mon blog (au titre de mes pages personnelles), en notant les versions nécessaires de PHP et de Wordpress.

Et si je changeais d'hôtel pour voir si la couche est meilleure ? Allez, je vais remettre un bûche dans la cheminée, car il fait décidément froid. Bises glacées,
Alexis.

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